Éditions Espaces 34

Théâtre du XVIIIe siècle

Essais et pièces rendant compte de la grande variété de formes du théâtre du XVIIIe siècle

Arlequin sauvage
suivi de Le Faucon et les oies de Boccace

EAN : 9782847050011

13x21 cm, 164 p., 15 €
1re éd 1996, 2e éd 2004
6 hommes, 2 femmes, figuration (Arlequin sauvage)
3 hommes, 3 femmes (Le Faucon)

2004

Présentation de David Trott

Arlequin sauvage
Venant de l’étranger, donc « sauvage », Arlequin découvre en Europe un monde nouveau pour lui. Par son regard et son jugement naïfs, sont dénoncées les mœurs artificielles et les lois d’une société qui s’est éloignée des valeurs traditionnelles.

Le Faucon et les oies de Boccace
Dans un style différent quoique renvoyant également à un comique dont on trouvera l’écho chez Marivaux, Le Faucon livre une analyse morale de la passion. Un autre Arlequin est présent, figure innocente qui découvre le désir et est progressivement initié à l’amour.

De ces deux comédies en trois actes, la première Arlequin Sauvage fait la critique des fondements de la société par la bouche du personnage d’Arlequin, plein de bon sens et d’honnêteté.
Le moteur de la deuxième pièce Le Faucon et les oies de Boccace est la relation amoureuse qui s’inscrit également dans un contexte social.

Extrait de presse

Ces deux comédies sont « en tous points comparables aux meilleurs du contemporain Marivaux ».
[Dix-huitième siècle, Martine de Rougemont, n° 29, 1997]

Vie du texte

Lecture de Arlequin sauvage par Aurélie Rusterholtz, à l’Espace 44-Le Grand T, dans le cadre d’un partenariat avec l’Université de Nantes, le 19 décembre 2007.

Arlequin sauvage est montée dans une mise en scène de Thierry Pillon, compagnie l’Eternel Ephémère à l’occasion du colloque international « Diversité et modernité du théâtre du XVIIIe siècle » (19-21 octobre 2011, Québec) et rejouée à Nantes dans le cadre des Journées Scientifiques de l’Université de Nantes, le 8 juin 2012.

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