Accueil > Collections > Théâtre > Théâtre traduction > Holocauste, fragments

Reznikoff, Charles

Holocauste, fragments

1998

jeudi 5 mars 1998

Traduit de l’américain par Jean-Paul Auxemery.

Dans ce « long poème où il sut trouver une forme et imprimer un rythme aux témoignages enregistrés lors du procès de Nuremberg et du procès Heichmann » [Libération, Mathilde La Bardonnie, 18 janvier 1998], le poète américain Charles Reznikoff (1894-1976) dit les faits « non pour raconter, mais pour saisir » [Paul Auster] donnant àentendre « une sorte de sombre cantate àune voix. » [L’Humanité, 2, fév. 1998]


Extraits de presse

« J’ai choisi Holocauste parce que je trouve que l’écriture de Charles Reznikoff est exemplaire. C’est une poésie très élaborée dans le choix des mots, des rythmes, la longueur des lignes, la condensation (...).
Le texte va àl’essentiel, ne relate que les faits.
Il m’a paru particulièrement intéressant de travailler une écriture aussi consciente d’elle-même, et en même temps aussi éloignée des préoccupations ordinaires de la littérature ou de la poésie. (...)
La mise en scène d’Holocauste s’accompagne d’une édition du livre. Ainsi le texte de Reznikoff peut être lu et entendu.
C’est ainsi que la force des idées passe. »
[Le Monde, Claude Régy, interviewé par Brigitte Salino, 21 janv. 1998]

Vie du texte

Création au Théâtre national de la colline, dans une mise en scène de Claude Régy (du 15 janvier au 1er mars 1998).